Voilà les photos disponibles. Nous en ajouterons au fur et à mesure des collectes.
D’abord
ici ! Départ, Arrivées, Podium
Là… Les Départs, Petit pont (12), la Citerne (22); Berniquaut (44), Arrivée
Ravito 4 (hêtre tricentenaire, 22 & 44)
C’est reparti pour la 3ème édition dont la date est fixée au 14 juin 2015. Nous restons grosso-modo sur le même format que l’an dernier avec trois épreuves de 12, 22 et 44 km sur à peu près les mêmes parcours. C’est beau, on ne va pas s’en lasser tout de suite… Une petite variante néanmoins sur le 22 et deux modifications sur le 44 km.
Voici la description et le profil du 44 km, le 22 km, le 12 km et la rando.
Voici la cartographie générale des parcours. Les profils sont sur les pages de chaque parcours. Cliquez pour agrandir...
Le Desperado Trail est aussi un club. Nous vous proposons de vous joindre à nous pour les entraînements, généralement les Mercredi soir et Dimanche matin sur les chemins du Despé et aux alentours. Quelques sorties de groupes plus éloignées seront aussi organisées ainsi que des sorties rando pour les marcheurs, dans la Montagne Noire ou les Pyrenées.
Pour être tenu au courant de l’avancée des choses, suivez-nous sur facebook !
Le parcours des “sprinters” et des débutants démarre à 9h30 du parking. Retrait dossards à partir de 7h.
La rando emprunte le même parcours et démarrera quelques minutes après le départ du 12 km.
Après un échauffement de 3 km autour du lac, on grimpe vers Peyrebazal où, à la sortie du raidillon final de la montée dans la forêt, un magnifique point de vue permet d’admirer le lac et toute la plaine. Il faudra se retourner mais on vous fera signe !
Le parcours continue sur le plateau en faux plat puis amorce la descente par de petits mono-traces en forêt sur un sol bien moelleux ! Ensuite, une belle descente technique nous ramène vers le chemin des amoureux. Ce pittoresque chemin est très technique à son début, beaucoup de cailloux, des bosses, petits ruisseaux… un régal. Puis il se termine tranquillement par un long faux plat descendant très roulant ou il faudra envoyer les watts avant de rejoindre le lac et de finir la boucle jusqu’à l’arrivée au parking.
Entre 11 et 12 km selon les gps, un peu plus de 300 m de montée, mais d’une seule traite !
Un ravitaillement est proposé à mi-parcours (au départ du chemin des amoureux) avec eau, coca, isostar, fruits, tucs, … et saucisson pour les plus téméraires. Sans oublier le ravitaillement final avec une bonne bière en prime.
Cliquez pour agrandir !
Le départ est à 9h, du parking du Lac. Ouverture du retrait dossard à 7h.
Deux ravitaillement sont proposés :
Avec eau, coca, isostar, fruits, tucs, … et saucisson pour les plus téméraires. Sans oublier le ravitaillement final avec une bonne bière en prime.
Voici le profil. Cliquez pour agrandir :
Comme les autres parcours, on débute par trois quart de tour du lac pour s’échauffer et disperser les participants. Puis on monte en forêt vers Peyrebazal par en sentier alignant une succession de raidillons. Il autorise néanmoins les dépassements. A la sortie, un magnifique point de vue permet d’admirer le lac et toute la plaine.
On continue sur le plateau pour arriver sur la lande, puis on amorce après de petits mono-traces une belle descente technique vers le chemin des amoureux. Là, les participants du 12 empruntent ce dernier pour revenir vers le lac. 22 et 44 bifurquent pour continuer la montée vers les Cammazes que l’on rejoindra en empruntant un long chemin puis une petite route goudronnée sur les 500 derniers mètres.
Voilà la Rigole (canalette d’alimentation du Canal du Midi qui se jette dans le Lac de Saint Ferréol) et la Voute Vauban (oui, c’est lui qui l’a construite) permettant à la rigole de passer de la vallée du Sor à la vallée du Laudot. Un petit tour le long de cette rigole et dans le village permet de rejoindre le premier ravitaillement place de l’église. Nous sommes au neuvième kilomètre.
On repart alors vers la forêt de l’aiguille où on se séparera des coureurs du 44 km. Nous sillonnons les petits sentiers de la forêt de l’Aiguille pour aborder la descente du roc de l’homme. 6 épingles premettent de descendre de 180 m en 1 km pour rejoindre la conduite forcée (canalisation qui, depuis le barrage des Cammazes, alimente l’usine des eaux de Picotalen). Là débute un long faux plat montant le long de la conduite jusqu’au point de jonction avec le 44 km arrivant de face. Tout le monde remontera vers la forêt de l’aiguille par la gauche, et une bonne remontée jusqu’au célèbre hêtre tricentenaire.
Ravito à l’ombre sous les frondaisons !
Un peu de répit sera apporté par le petit monotrace et son sol forestier moelleux ! (mon préféré…) Répit de courte durée puisqu’arrivés au bord de la route des Cammazes, il faudra reprendre l’ascension dans la forêt.
Là, deux options encore à déterminer. Soit nous restons sur le tracé de l’an dernier et rejoignons la buse par la droite, soit nous nous accordons une petite rallonge par les sentiers qui remontent encore pour accompagner les coureurs du 44 km (qui doivent compenser la perte de distance occasionnée par l’ouverture d’une nouvelle côte, la “Barkley”, spécialement tracée pour eux…)
Nous arrivons alors enfin vers la buse qui permet de traverser la route des Cammazes. BAISSEZ la tête à son approche, mettez la MAIN SUR VOTRE TÊTE pendant la traversée afin de ne pas vous cogner. Ne vous inquiétez pas trop de l’eau qui y coule au fond, il faudra de toute façon traverser le Laudot à gué quelques mètres plus loin !
Et nous voilà sur le retour sur un des chemins favoris de nos entraînements où nous rejoignons le parcours du 12 km et des randonneurs : le chemin des amoureux. Il faudra en garder sous la pédale, car il y a encore pas mal de distance. Technique dans sa partie amont, belle relance dans la partie aval, de beau écarts peuvent se faire dans ce chemin des amoureux avant de rejoindre le Lac et finir le tour pour en terminer.
Arrivé au Lac, n’oublions pas qu’il reste un bon kilomètre avec quelques faux-plat pour rejoindre la ligne par le magnifique chemin qui en fait le tour.
700-800 m de dénivelé positif seront à affronter.
Voilà on est arrivé, bonne course à tous !
Le grand parcours du Despé est sensiblement identique au parcours de l’an dernier, hormis l’arrivée de la Barkley, une nouvelle côte de 200 m tracée droit dans la combe au dessus de Durfort. Puisque la Barkley coupe dans la pente, cela réduit le parcours. Donc une petite rallonge est prévue dans la forêt de l’aiguille avant de redescendre vers la buse sous la route des Cammazes.
Attention, notez bien que le départ a été avancé à 7h45 pour éviter la chaleur de l’après-midi. Le retrait dossard débutera à 6h30.
Cliquez sur l’image pour voir le tracé.
Le parcours fait entre 43 et 44 km (selon les gps) et le dénivelé est autour de 1800 m.
3 ravitaillements et 2 points d’eau vous sont proposés :
km 9 - Les Cammazes : Ravitaillement
km 19 - Route d’Arfons : point d’eau
km 28 - Sorèze : Ravitaillement et barrière horaire 5h30 (arrivée limite 13h15)
km 33 - Durfort : Point d’eau
km 35 - Hêtre tricentenaire : Ravitaillement
Comme l’an dernier, les trois parcours sont concentriques. Nous partons du parking par la droite pour 3 km d’échauffement autour du lac et pour disperser les participants. Puis on commence l’ascension vers les Cammazes. La montée s’engage vers Peyrebazale pour une succession de raidillons dans la forêt. A la sortie, un magnifique point de vue permet d’admirer le lac et toute la plaine. On continue sur le plateau pour arriver sur la lande, puis on amorce après de petits mono-traces en forêt une belle descente technique vers le chemin des amoureux. Là, les participants du 12 empruntent ce dernier pour revenir vers le lac. 22 et 44 bifurquent pour continuer la montée vers les Cammazes que l’on rejoindra en empruntant un long chemin puis une petite route goudronnée sur les 500 derniers mètres.
Voilà la Rigole (canalette d’alimentation du Canal du Midi qui se jette dans le Lac de Saint Ferréol) et la Voute Vauban (oui, c’est lui qui l’a construite) permettant à la rigole de passer de la vallée du Sor à la vallée du Laudot. Un petit tour le long de cette rigole et dans le village permet de rejoindre le premier ravitaillement place de l’église. Nous sommes au neuvième kilomètre.
On repart alors vers la forêt de l’aiguille où on se séparera des coureurs du 22 km. Là débute de nouvelles difficultés et de nouveaux paysages par une belle descente vers le Sor. Un petit pont permet de le franchir avant de gravir l’autre versant. Nous allons rejoindre la tour Roquefort, belle ruine du X° siècle, puis reprendre l’ascension vers le Montagnet par un chemin hésitant entre feuillus, résineux et landes.
Arrivée sur le plateau, nous galopons entre les moutons puis sur une belle banquette le long de la petite route vicinale qui nous mène sur la crête de Berniquaut. Nous allons vite la quitter pour redescendre vers la route d’Arfons (ce sera pour mieux la retrouver, après l’ascension de l’oppidium). Nous sommes en plein bois lorsque nous traversons deux fois cette route où vous aurez à disposition un point d’eau. Nous continuons ensuite dans la forêt sur le versant opposé vers Saint Amancet. La montée est assez régulière pour arriver à un beau point de vue. Puis nous arpentons les bois de Saint Amancet avant de rejoindre le Causse de Sorèze.
La traversée du Causse marque la seconde partie du parcours, mais pas le milieu des difficultés ! Les plus belles ascensions sont à venir. Pour l’instant, redescendons vers Sorèze par le petit sentier de randonnée, contournons le parc de l’abbaye-école (musée, concerts; hotel, restaurant…) pour arriver au ravitaillement.
Attention, les difficultés étant importantes au delà, la barrière horaire à ce 28ème km est fixée à 5h30 de course, soit 13h15.
L’ascension de l’oppidium de Berniquaut débute par la sortie du village et une montée dans un petit chemin creux qui débouche sur le grand chemin de randonnée en lacets. Comme on n’est pas des randonneurs (!) nous prendrons la sente qui coupe droit à travers les lacets !
Arrivée au col, il faut garder du jus, car la montée n’est pas terminée et les rochers du sommet sont difficiles à gravir. Mais la vue est splendide sur toute la plaine d’un coté et la montagne de l’autre. Si vous le pouvez, jetez un oeil sur la droite en contrebas pour voir le village de Durfort niché dans la vallée du Sor. Nous prenons la crête sur quelques centaines de mètres avant de redescendre le sentier des abeilles, justement vers Durfort.
Profitez du pittoresque du village, remarquez les rigoles dans les vieilles ruelles, refaites éventuellement le plein d’eau à la fontaine du petit pont : après se présente la nouvelle montée malicieusement baptisée “la Barkley” : un petit sentier d’accès part entre deux maisons, puis nous avons tracé un “azimut brutal” dans la combe pour rejoindre le grand chemin de la “conduite forcée” (canalisation qui, depuis le barrage des Cammazes, alimente l’usine des eaux de Picotalen). Là, il faut en avoir encore sous le pied, sinon, la souffrance sera au rendez-vous ! Mais on aime ça…
A ce point, nous rejoignons les coureurs du 22 km pour continuer l’ascension vers la forêt de l’aiguille et atteindre son hêtre tricentenaire. Le vénérable végétal abritera le dernier ravitaillement (il était l’an dernier quelques centaines de mètres plus loin, au bord de la route des Cammazes)
Un peu de répit sera apporté par le petit monotrace et son sol forestier moelleux ! (mon préféré…) Répit de courte durée puisqu’arrivés au bord de la route des Cammazes, il faudra reprendre l’ascension dans la forêt.
Attention, petite variante : au sommet de la remontée, au lieu de prendre l’allée sur la droite pour revenir tout de suite vers la buse, nous poursuivons la montée vers le haut de la forêt pour une belle boucle par quelques monotraces. Nous compensons la perte de distance que la Barkley entraine. Cela permet aussi d’éviter la grande piste forestière, pas très jolie, que nous empruntions l’an dernier avant de rejoindre le 22 km.
Nous arrivons alors enfin vers la buse qui permet de traverser la route des Cammazes. BAISSEZ la tête à son approche, mettez la MAIN SUR VOTRE TÊTE pendant la traversée afin de ne pas vous cogner. Ne vous inquiétez pas trop de l’eau qui y coule au fond, il faudra de toute façon traverser le Laudot à gué quelques mètres plus loin !
Et nous voilà sur le retour sur un des chemins favoris de nos entraînements où nous rejoignons le parcours du 12 km et des randonneurs : le chemin des amoureux. Technique dans sa partie amont, belle relance dans la partie aval, de beau écarts peuvent s’y faire avant de rejoindre le Lac et finir le tour pour en terminer.
Voilà on est arrivé, bonne course à tous !
Chers tous,
Nous espérons que la journée vous a plu. Elle semble déjà avoir fait le bonheur des participants grâce à vous :
Nous vous adressons nos plus vifs remerciements : tout le monde a été disponible, efficace, et a pu gérer les imprévus divers.
Sans enlever de mérite à tous les autres qui se sont démenés sur le site, une mention spéciale aux signaleurs, d’abord pour l’occupation de ces postes toujours un peu plus ingrats : attente, météo… (en échange de la petite compensation de voir passer les coureurs !), ensuite pour l’aide qu’ils ont apportée au suivi de la course par leurs retours sur la progression des premiers et des derniers. Même si tout le monde n’a pas pu être joint (toujours délicat dans la montagne), cela a permis de se passer des moyens radios et occasionné une forte économie. Ni l’efficacité ni la sécurité n’en ont souffert, puisque nous n’avions pas eu plus de points de retour l’an dernier.
Un grand merci à l’équipe du Rotary, qui a organisé et assuré les ravitaillements des Cammazes (dont son maire, et oui !) et de Sorèze, avec efficacité et autonomie.
Merci spécial aussi à ceux qui ont démarré la journée tôt le matin, avant 6h pour certains, et à ceux (parfois les mêmes !) qui ont pu rester jusqu’au démontage final.
Nous espérons avoir le plaisir de vous retrouver pour une petite soirée vendredi 26 juin à partir de 19h, à la salle du foyer (salle communale) de Roumens (merci de confirmer votre présence et le nb de personnes)
Ceux qui ne pourront pas se joindre à nous voudront bien nous envoyer les remarques qu’ils ont à faire sur l’organisation (toujours précieux pour nous) par email ?
Nous aurons collecté les photos et vidéos d’ici là. Nous pourrons vous faire un diaporama sur place. Sinon, vous pouvez aller voir régulièrement sur le site du despé (desperadotrail.fr) les photos qui commencent (et continueront dans les prochains jours) à être publiées.
A très bientôt et en espérant vous retrouver aussi sur les prochaines sorties Randos que nous continuerons à organiser.
Toute l’équipe du…
En attendant les retours des photos, quelques clichés déjà collectés :
Le despé rendrait-il fou ?
Halte là !
Un peu de vous…
L’arrivée du dernier, 8h34 d’efforts, et d’autant plus de mérite quand on connaît son histoire
Démontage…
Ps : voici un petit texte écrit par Remy Jegard, très bon trailiste de la région et créateur du journal Running Mag avec qui nous collaborons. Il montre bien ce qu’est l’esprit trail auquel vous contribuez :
…Le trail, de mon point de vue en tout cas, c’est ça. Tout simplement. Il y a d’une part l’effort et la découverte. Et il y a d’autre part la convivialité et le partage. Autour de Toulouse, on retrouve toujours quelques bandes de potes, d’amis qui adorent se retrouver ainsi pour une épreuve, pour un entrainement et qui vont ensuite casser la croûte pour tout se raconter.
Je pense ici aux Zinzins, au Pac, à Cap Trail et même au petit nouveau Merville Trail… Mais il y a plein d’autres…. Et bien souvent, ce sont ces mêmes personnes qui proposent par la suite une épreuve qu’ils organisent eux-mêmes…
_Et bien je trouve cela juste fantastique et terriblement humain. Le trail, ce n’est pas autre chose. Ce sont des petits groupes de coureurs qui s’entendent bien et qui vont aller se retrouver pour en découdre sur un parcours, pour aller s’éclater et passer du bon temps… Et je ne vois pas pourquoi cela devrait changer. C’est très bien ainsi. C’est simple. C’est convivial. Le trail n’a pas besoin d’avenir. Il est là et c’est déjà énorme. Dawa Sherpa (ndlr : Grand traileur international, représentant du Népal aux J.O en ski de fond et parrain de l’association d’aide aux victimes du tremblement de terre à laquelle nous participons avec les bénéfices de cette année) lors de la dernière Pastourelle, parrain de l’épreuve, a déclaré : “Si un jour le trail devait débarquer aux Jeux Olympiques, et bien ce ne serait plus du trail, ce serait autre chose, une autre discipline. Il faudrait qu’il change de nom !”
Et bien, pour le coup, je suis tout à fait d’accord avec lui. Le trail, pour la grande majorité des gens qui le pratique en tout cas, cela reste un partage, une convivialité autour d’un effort physique et d’une découverte d’endroits particuliers !_
Club de trail dans la Montagne Noire, proche de Revel. Organisation du Desperado Trail et des 6h de Berniquaut.